Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son pli, attendait que l’obsidienne parle à présent. La joyau black semblait absorber la luminosité de lune, vibrer par-dessous la pression du vent, et parfois, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://edgarnjexr.eedblog.com/34000905/les-empreintes-effacées